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Ce monsieur partage son expérience éprouvante en tant qu'aidant pour sa femme, suspectée de démence. Sans accès à un ordinateur, il se tourne vers des ressources locales pour obtenir de l'aide. Sa femme, autrefois difficile, est devenue agressive, refuse de changer de vêtements et rejette toute aide extérieure. Il est conseillé de faire une évaluation médicale pour confirmer le diagnostic et mettre en place un plan de soins. Des services comme le Centre de Compétence en Démence Magnolia peuvent offrir un soutien précieux. Ce témoignage souligne les défis des proches aidants et l'importance du soutien de la communauté et des professionnels.

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Depuis 1982, Yvonne Stempfel s'engage pour les affaires sociales et les personnes de tous âges. Dans un entretien avec les FN, elle partage comment elle a géré ses nombreux rôles. Syndique, députée, présidente du Grand conseil, présidente d'association et directrice de l’hospice St. Peter, elle a été à la tête de nombreuses organisations dans la région de Gurmels et le canton de Fribourg. À l'heure de la retraite, elle cède sa dernière fonction, celle de directrice de l’hospice St. Peter. Elle continuera à soutenir sa successeure Isabelle Buchert Hostettler et à conseiller divers projets. Pour en savoir plus, lisez l'article complet (disponible uniquement pour les abonnés et en allemand)

Image: Freiburger Nachrichten, Til Bürgy

Esther De Mamiel, animatrice à l’EMS Sonnmatt à Schmitten, se consacre à offrir aux résidents un "bon" quotidien à travers diverses activités. Pour elle, un "bon" quotidien est individuel : certains trouvent leur bonheur dans un bon repas, d'autres dans des activités comme la peinture ou même un vol en hélicoptère. Depuis 34 ans, elle s'efforce de répondre à ces souhaits, considérant ce travail comme une composante essentielle de son propre "bon" quotidien. Pour en savoir plus, lisez l'article complet. (disponible uniquement en allemand)

Image: Freiburger Nachrichten, Aldo Ellena

La gérontopsychologue Marianna Gawrysiak a donné une conférence à Vuippens sur la maltraitance des personnes âgées, insistant sur l'utilisation du terme « vieux » pour dénoncer l'âgisme. En Suisse, entre 300 000 et 500 000 seniors subissent des abus chaque année, selon un rapport de 2020. La maltraitance peut être physique, psychologique ou financière et survient souvent dans des contextes de confiance, rendant le décompte difficile. Gawrysiak a souligné les risques accrus liés aux troubles cognitifs, à l'isolement social et à la dépendance financière. Elle appelle à une prise de conscience collective pour protéger cette population vulnérable. Pour en savoir plus, lisez l'article complet. (Article réservé aux abonnés.)